samedi 17 septembre 2016

Projet Sabrina / Hadjer – phrases 191-194

David apartó la foto del hijo del señor Ramírez y tomó asiento en el diván.
—Creo deberle una explicación, dijo calmado, y sin esperar respuesta de Ramírez confesó que el Querido Tartaja había sido una invención de su autoría para acercarse a su hijo. Sin querer, un día se topó con el blog Los rápidos negros y se hicieron amigos. A diario compartían historias y el aspirante a novelista le había contado que tenía planes para reescribir una novela de Denbrough y convertirla en una maldad aún mayor. 

Traduction temporaire :
David écarta la photo du fils de Ramírez et prit place sur le divan.
— Je crois que je vous dois une explication, commença-t-il calmement. Et, sans attendre sa réponse, il avoua qu’il était à l’origine du personnage du Bègue bien aimé, qu'il avait inventé pour approcher son fils. Un jour, il était tombé par hasard sur le blog Los rápidos negros* et ils étaient devenus amis. Ils partageaient quotidiennement des histoires et l’aspirant romancier lui avait raconté qu’il envisageait de réécrire un roman de Denbrough et d’en faire une œuvre plus noire encore.

8 commentaires:

Sabrina a dit…

Vous aviez proposé pour "Querido Tartaja" par "Ce cher Bredouilleur". Je propose "Le Bègue bien aimé".
En revanche, je me tâte à traduire "Los rapidos negros". Vous ne l'aviez pas traduit. Je pensais à une note de bas de page. Mais le pb reste entier : comment le traduire ?! Je dirais que "negros" fait ici référence aux nègres qui écrivent pour le compte d'autres. Je tente un truc.

David écarta la photo du fils de monsieur Ramírez et prit place sur le divan.
— Je crois que je vous dois une explication, annonça-t-il calmement. Et sans attendre une réponse de Ramírez, il avoua qu’il était à l’origine du Bègue bien aimé, inventé pour approcher son fils. Un jour, il est tombé par hasard sur le blog Los rápidos negros* et ils sont devenus amis. Chaque jour, ils partageaient des histoires et l’aspirant romancier lui avait raconté qu’il envisageait de réécrire un roman de Denbrough et d’en faire une œuvre plus noire encore.

* Les efficaces écrivains de l'ombre

Tradabordo a dit…

Vous aviez proposé pour "Querido Tartaja" par "Ce cher Bredouilleur". Je propose "Le Bègue bien aimé".

OK. Du coup, tu penseras à changer les autres quand tu feras la relecture.

En revanche, je me tâte à traduire "Los rapidos negros". Vous ne l'aviez pas traduit. Je pensais à une note de bas de page. Mais le pb reste entier : comment le traduire ?! Je dirais que "negros" fait ici référence aux nègres qui écrivent pour le compte d'autres. Je tente un truc.

Demande son avis à Elena.

***

David écarta la photo du fils de monsieur [nécessaire ?] Ramírez et prit place sur le divan.
— Je crois que je vous dois une explication, annonça[« commença-t-il » ?]-t-il calmement. Et [virgule] sans attendre une réponse de Ramírez [supprime, ici], il avoua qu’il était à l’origine du [peu clair] Bègue bien aimé, inventé pour approcher son fils. Un jour, il est tombé [PQP ?] par hasard sur le blog Los rápidos negros* et ils sont devenus [idem ?] amis. Chaque jour [tu l'as dans la phrase précédente / attention de bien traduire en prenant en compte le bloc, pas juste la section de la phrase], ils partageaient des histoires et l’aspirant romancier lui avait raconté qu’il envisageait de réécrire un roman de Denbrough et d’en faire une œuvre plus noire encore.

* Les efficaces écrivains de l'ombre

Sabrina a dit…

C'est noté ;).
Le verdict d'Elena : "rapidos" est dans le de "vifs d'esprit" et "negros" fait référence à ces fans de romans noirs. Elle m'a aussi précisé que même en espagnol, l'expression n'était pas très heureuse. Je la garderais donc en VO avec une note de bas de page.

J'avais hésité avec le plus-que-parfait donc ok.
Oui à toutes tes suggestions, merci :)

David écarta la photo du fils de Ramírez et prit place sur le divan.
— Je crois que je vous dois une explication, commença-t-il calmement. Et, sans attendre sa réponse, il avoua qu’il était à l’origine du personnage du Bègue bien aimé, qu'il avait inventé pour approcher son fils. Un jour, il était tombé par hasard sur le blog Los rápidos negros* et ils étaient devenus amis. Ils partageaient quotidiennement des histoires et l’aspirant romancier lui avait raconté qu’il envisageait de réécrire un roman de Denbrough et d’en faire une œuvre plus noire encore.

* Les vifs amateurs de romans noirs

Tradabordo a dit…

Bon, on verra ça à la relecture, parce que c'est pas très enthousiasmant.

David écarta la photo du fils de Ramírez et prit place sur le divan.
— Je crois que je vous dois une explication, commença-t-il calmement. Et, sans attendre sa réponse, il avoua qu’il était à l’origine du personnage du Bègue bien aimé, qu'il avait inventé pour approcher son fils. Un jour, il était tombé par hasard sur le blog Los rápidos negros* et ils étaient devenus amis. Ils partageaient quotidiennement des histoires et l’aspirant romancier lui avait raconté qu’il envisageait de réécrire un roman de Denbrough et d’en faire une œuvre plus noire encore.

* Les vifs amateurs de romans noirs

OK.

Sabrina a dit…

J'avoue ;).
Et " Les amateurs éclairés du roman noir" ?

Elena a dit…

"Les noirs délurés" ?

Tradabordo a dit…

Pense-te-le le temps qu'on termine :-)))))

Sabrina a dit…

Merci pour ton aide Elena :). En fait, j'ai peur que si on met simplement "les noirs", le lecteur français ne comprenne pas que l'on parle d'amateurs de romans noirs. D'où mon choix pour la périphrase même si c'est un peu "lourd". Je vais y réfléchir...