samedi 14 octobre 2017

Projet Cindy 4 – phrases 198-205

Se acercó a la ventana, apoyó la frente contra el vidrio glacial, Allí estaba el gomero recibiendo serenamente la lluvia que lo golpeaba, tranquilo y regular. El cuarto se inmovilizaba en la penumbra, ordenado y silencioso. Todo parecía detenerse, eterno y muy noble. Eso era la vida. Y había cierta grandeza en aceptarla así, mediocre, como algo definitivo, irremediable. Mientras del fondo de las cosas parecía brotar y subir una melodía de palabras graves y lentas que ella se quedó escuchando: «Siempre». 

Traduction temporaire :

Elle s'approcha de la fenêtre, appuya son front contre le verre glacial. Le caoutchouc était là, recevant sereinement la pluie qui le frappait, tranquillement et régulièrement. La chambre s'immobilisait dans la pénombre, rangée et silencieuse. Tout paraissait s'arrêter, éternel et très noble. C'était ça, la vie. Et il y avait une certaine grandeur à l'accepter telle quelle, médiocre, comme quelque chose de définitif, d'irrémédiable. Tandis qu'au fond des choses semblait naître et monter une mélodie de mots graves et lents qu'elle resta à écouter : « Toujours ».

5 commentaires:

Cindy Gailledrat a dit…

Se acercó a la ventana, apoyó la frente contra el vidrio glacial, Allí estaba el gomero recibiendo serenamente la lluvia que lo golpeaba, tranquilo y regular. El cuarto se inmovilizaba en la penumbra, ordenado y silencioso. Todo parecía detenerse, eterno y muy noble. Eso era la vida. Y había cierta grandeza en aceptarla así, mediocre, como algo definitivo, irremediable. Mientras del fondo de las cosas parecía brotar y subir una melodía de palabras graves y lentas que ella se quedó escuchando: «Siempre».

Elle s'approcha de la fenêtre, appuya son front contre le verre glacial. Le caoutchouc était là, recevant sereinement la pluie qui le frappait, tranquillement et régulièrement. La chambre s'immobilisait dans la pénombre, ordonnée et silencieuse. Tout paraissait s'arrêter, éternel et très noble. Ça c'était la vie. Et il y avait une certaine grandeur à l'accepter telle quelle, médiocre, comme quelque chose de définitif, d'irrémédiable. Tandis qu'elle resta à écouter une mélodie de mots graves et lents qui semblait naître et monter au fond des choses : « Toujours ».

Tradabordo a dit…

Se acercó a la ventana, apoyó la frente contra el vidrio glacial, Allí estaba el gomero recibiendo serenamente la lluvia que lo golpeaba, tranquilo y regular. El cuarto se inmovilizaba en la penumbra, ordenado y silencioso. Todo parecía detenerse, eterno y muy noble. Eso era la vida. Y había cierta grandeza en aceptarla así, mediocre, como algo definitivo, irremediable. Mientras del fondo de las cosas parecía brotar y subir una melodía de palabras graves y lentas que ella se quedó escuchando: «Siempre».

Elle s'approcha de la fenêtre, appuya son front contre le verre glacial. Le caoutchouc était là, recevant sereinement la pluie qui le frappait, tranquillement et régulièrement. La chambre s'immobilisait dans la pénombre, ordonnée [« rangée » ? J'hésite… Je vous laisse trancher] et silencieuse. Tout paraissait s'arrêter, éternel et très noble. Ça c'était la vie [ou : « C'était ça, la vie » ?]. Et il y avait une certaine grandeur à l'accepter telle quelle, médiocre, comme quelque chose de définitif, d'irrémédiable. Tandis qu'elle resta à écouter une mélodie de mots graves et lents qui semblait naître et monter au fond des choses [ça ne marchait pas plus littéralement ?] : « Toujours ».

Cindy Gailledrat a dit…

Se acercó a la ventana, apoyó la frente contra el vidrio glacial, Allí estaba el gomero recibiendo serenamente la lluvia que lo golpeaba, tranquilo y regular. El cuarto se inmovilizaba en la penumbra, ordenado y silencioso. Todo parecía detenerse, eterno y muy noble. Eso era la vida. Y había cierta grandeza en aceptarla así, mediocre, como algo definitivo, irremediable. Mientras del fondo de las cosas parecía brotar y subir una melodía de palabras graves y lentas que ella se quedó escuchando: «Siempre».

Elle s'approcha de la fenêtre, appuya son front contre le verre glacial. Le caoutchouc était là, recevant sereinement la pluie qui le frappait, tranquillement et régulièrement. La chambre s'immobilisait dans la pénombre, rangée et silencieuse. Tout paraissait s'arrêter, éternel et très noble. C'était ça, la vie. [Du coup, ne doit-on pas modifier aussi ceux qui apparaissaient précédemment ?] Et il y avait une certaine grandeur à l'accepter telle quelle, médiocre, comme quelque chose de définitif, d'irrémédiable. Tandis qu'au fond des choses semblait naître et monter une mélodie de mots graves et lents qu'elle resta à écouter : « Toujours ».

Tradabordo a dit…

Se acercó a la ventana, apoyó la frente contra el vidrio glacial, Allí estaba el gomero recibiendo serenamente la lluvia que lo golpeaba, tranquilo y regular. El cuarto se inmovilizaba en la penumbra, ordenado y silencioso. Todo parecía detenerse, eterno y muy noble. Eso era la vida. Y había cierta grandeza en aceptarla así, mediocre, como algo definitivo, irremediable. Mientras del fondo de las cosas parecía brotar y subir una melodía de palabras graves y lentas que ella se quedó escuchando: «Siempre».

Elle s'approcha de la fenêtre, appuya son front contre le verre glacial. Le caoutchouc était là, recevant sereinement la pluie qui le frappait, tranquillement et régulièrement. La chambre s'immobilisait dans la pénombre, rangée et silencieuse. Tout paraissait s'arrêter, éternel et très noble. C'était ça, la vie. [Du coup, ne doit-on pas modifier aussi ceux qui apparaissaient précédemment ? Oui, vous le ferez au moment de la relecture…] Et il y avait une certaine grandeur à l'accepter telle quelle, médiocre, comme quelque chose de définitif, d'irrémédiable. Tandis qu'au fond des choses semblait naître et monter une mélodie de mots graves et lents qu'elle resta à écouter : « Toujours ».

OK.

Cindy Gailledrat a dit…

Se acercó a la ventana, apoyó la frente contra el vidrio glacial, Allí estaba el gomero recibiendo serenamente la lluvia que lo golpeaba, tranquilo y regular. El cuarto se inmovilizaba en la penumbra, ordenado y silencioso. Todo parecía detenerse, eterno y muy noble. Eso era la vida. Y había cierta grandeza en aceptarla así, mediocre, como algo definitivo, irremediable. Mientras del fondo de las cosas parecía brotar y subir una melodía de palabras graves y lentas que ella se quedó escuchando: «Siempre».


Elle s'approcha de la fenêtre, appuya son front contre le verre glacial. Le caoutchouc était là, recevant sereinement la pluie qui le frappait, tranquillement et régulièrement. La chambre s'immobilisait dans la pénombre, rangée et silencieuse. Tout paraissait s'arrêter, éternel et très noble. C'était ça, la vie. Et il y avait une certaine grandeur à l'accepter telle quelle, médiocre, comme quelque chose de définitif, d'irrémédiable. Tandis qu'au fond des choses semblait naître et monter une mélodie de mots graves et lents qu'elle resta à écouter : « Toujours ».