mercredi 16 août 2017

Projet Justine / Elena – texte 119

Goliath

Sus pasos retumban, la tierra tiembla bajo sus pisadas.
Cuando el predador tiene hambre, el pantano se aquieta, enmudece.
De pronto cambia de rumbo. Se detiene, se yergue, olfatea el aire. Golpea su formidable cola contra el barro. De sus fauces abiertas cae un hilo de espuma.
Un árbol enorme, cargado de monos, le estorba el paso. Contra el sol del amanecer, el árbol parece un monstruo negro, de mil cabezas. El predador lo mira encandilado, esas pequeñas bestias no atraen su atención. Él va tras otro olor, otras huellas. Tras un animal digno de su fuerza.
Hacia el oeste un resplandor ilumina el horizonte, pocos segundos después, llega el ruido. Ensordecedor, jamás escuchado antes, imposible. Un ruido que cubre de polvo el cielo, que estremece la tierra. Que pone a volar hojas, ramas, rocas. Que instala la noche.
Aferrados a su copa, los micos chillan aterrados. La raíz que los sostiene está cediendo. El árbol se hamaca un par de veces, como un junco. El tronco no resiste, se quiebra, se derrumba.
El ruido cesa, no así la oscuridad.
Poco a poco regresa la calma.
Entre el árbol derribado y el suelo está la cabeza del predador, grotescamente aplastada, partida. De su lengua, de sus ojos abiertos, los insectos ya comienzan a alimentarse. De nada le han valido su piel dura como coraza, sus temibles colmillos, sus quince metros de alto, sus doce toneladas de peso.
Los monos que han sobrevivido comienzan a moverse. El instinto les dice que el animal abatido ya no es peligroso. Corretean sobre él, se deslizan, juegan.
Apoyándose contra el gigantesco cuerpo muerto, uno de los monos intenta pararse sobre sus dos patas traseras.
Se yergue.
Los otros lo observan.
Algunos lo imitan.

Traduction temporaire :

Goliath

Ses pas résonnent, la terre tremble sous ses pas. Lorsque le prédateur a faim, le marécage se fige, se tait.
Soudain, il change de cap. S'arrête, se redresse, renifle l'air. Frappe sa formidable queue contre la boue. Un filet d'écume tombe de sa gueule ouverte.
Un arbre énorme, abritant plein de singes, lui barre le passage. Sous le soleil de l'aube, l'arbre ressemble à un monstre noir à mille têtes. Le prédateur le regarde, ébloui ; ces petites bêtes n'attirent pas son attention. Lui, il poursuit une autre odeur, d'autres traces. Il est après un animal digne de sa force.
À l'ouest, un éclair illumine l'horizon. Le bruit arrive quelques secondes plus tard. Assourdissant, jamais entendu auparavant, impossible. Un bruit qui recouvre le ciel de poussière, qui fait trembler la terre. Qui fait voler les feuilles, les branches, les pierres. Qui installe la nuit.
Accrochés à la cime, les ouistitis crient, terrorisés. La racine qui les porte est en train de céder. L'arbre se balance à plusieurs reprises, tel un jonc. Le tronc ne résiste pas, se fend, s'écroule.
Le bruit cesse, mais pas l'obscurité.
Peu à peu, le calme revient.
Entre l'arbre renversé et le sol, il y a la tête du prédateur, grotesquement écrasée, fracturée. Déjà, les insectes commencent à se nourrir de sa langue, de ses yeux ouverts. Sa peau dure comme une cuirasse, ses crocs effrayants, ses quinze mètres de haut et ses douze tonnes ne lui ont servi à rien.
Les singes ayant survécu se mettent en mouvement. Leur instinct leur dit que l'animal prostré n'est plus dangereux. Ils se précipitent sur lui, se laissent glisser, jouent.
En s'appuyant contre le gigantesque corps mort, l'un des singes tente de se lever sur ses deux pattes arrière. Il se dresse. Les autres l'observent. Certains l'imitent.

52 commentaires:

Elena a dit…

Goliath

Sus pasos retumban, la tierra tiembla bajo sus pisadas.
Ses pas résonnent, la terre tremble sous ses traces.

Cuando el predador tiene hambre, el pantano se aquieta, enmudece.
Lorsque le prédateur a faim, le marécage s'assagit, se tait.

Tradabordo a dit…

Goliath

Sus pasos retumban, la tierra tiembla bajo sus pisadas.
Ses pas résonnent, la terre tremble sous ses traces [« pas »].

Cuando el predador tiene hambre, el pantano se aquieta, enmudece.
Lorsque le prédateur a faim, le marécage s'assagit [FS ? J'hésite], se tait.

Elena a dit…

Goliath

Sus pasos retumban, la tierra tiembla bajo sus pisadas.
Ses pas résonnent, la terre tremble sous ses pas.

Cuando el predador tiene hambre, el pantano se aquieta, enmudece.
Lorsque le prédateur a faim, le marécage s'apaise, se tait.

Justine a dit…


Sus pasos retumban, la tierra tiembla bajo sus pisadas.
Ses pas résonnent, la terre tremble sous ses pas.

Cuando el predador tiene hambre, el pantano se aquieta, enmudece.
Lorsque le prédateur a faim, le marécage s'endort, se tait.

Justine a dit…

Goliath

Sus pasos retumban, la tierra tiembla bajo sus pisadas.
Ses pas résonnent, la terre tremble sous ses pas.

Cuando el predador tiene hambre, el pantano se aquieta, enmudece.
Lorsque le prédateur a faim, le marécage s'endort, se tait.

Tradabordo a dit…

Mettez-vous d'accord pour la fin.

Justine a dit…

On est d'accord ;-)

Goliath

Sus pasos retumban, la tierra tiembla bajo sus pisadas.
Ses pas résonnent, la terre tremble sous ses pas.

Cuando el predador tiene hambre, el pantano se aquieta, enmudece.
Lorsque le prédateur a faim, le marécage se fige, se tait.

Tradabordo a dit…

Goliath

Ses pas résonnent, la terre tremble sous ses pas. Lorsque le prédateur a faim, le marécage se fige, se tait.

OK.

VPC.

Elena a dit…

De pronto cambia de rumbo. Se detiene, se yergue, olfatea el aire. Golpea su formidable cola contra el barro. De sus fauces abiertas cae un hilo de espuma.

Soudain, il change de cap. S'arrête, se redresse, renifle l'air. Frappe sa formidable queue contre la boue. Un fil d'écume tombe de sa gueule ouverte.

Tradabordo a dit…

De pronto cambia de rumbo. Se detiene, se yergue, olfatea el aire. Golpea su formidable cola contra el barro. De sus fauces abiertas cae un hilo de espuma.

Soudain, il change de cap. S'arrête, se redresse, renifle l'air. Frappe sa formidable queue contre la boue. Un fil [« filet »] d'écume tombe de sa gueule ouverte.

Justine a dit…

De pronto cambia de rumbo. Se detiene, se yergue, olfatea el aire. Golpea su formidable cola contra el barro. De sus fauces abiertas cae un hilo de espuma.

Soudain, il change de cap. S'arrête, se redresse, renifle l'air. Frappe sa formidable queue contre la boue. Un filet d'écume tombe de sa gueule ouverte.

Elena a dit…

De pronto cambia de rumbo. Se detiene, se yergue, olfatea el aire. Golpea su formidable cola contra el barro. De sus fauces abiertas cae un hilo de espuma.

Soudain, il change de cap. S'arrête, se redresse, renifle l'air. Frappe sa formidable queue contre la boue. Un filet d'écume tombe de sa gueule ouverte.

Tradabordo a dit…

De pronto cambia de rumbo. Se detiene, se yergue, olfatea el aire. Golpea su formidable cola contra el barro. De sus fauces abiertas cae un hilo de espuma.

Soudain, il change de cap. S'arrête, se redresse, renifle l'air. Frappe sa formidable queue contre la boue. Un filet d'écume tombe de sa gueule ouverte.

OK.

VPC.

Elena a dit…

Un árbol enorme, cargado de monos, le estorba el paso. Contra el sol del amanecer, el árbol parece un monstruo negro, de mil cabezas. El predador lo mira encandilado, esas pequeñas bestias no atraen su atención. Él va tras otro olor, otras huellas. Tras un animal digno de su fuerza.

Un arbre énorme, chargé de singes, lui barre le passage. Contre le soleil de l'aube, l'arbre ressemble à un monstre noir, avec mille têtes. Le prédateur le regarde ébloui, ces petites bêtes n'attirent pas on attention. Il se dirige vers une autre odeur, d'autres traces. Vers un animal digne de sa force.

Justine a dit…

Un árbol enorme, cargado de monos, le estorba el paso. Contra el sol del amanecer, el árbol parece un monstruo negro, de mil cabezas. El predador lo mira encandilado, esas pequeñas bestias no atraen su atención. Él va tras otro olor, otras huellas. Tras un animal digno de su fuerza.

Un arbre énorme, abritant plein de singes, lui barre le passage. Sous le soleil de l'aube, l'arbre ressemble à un monstre noir à mille têtes. Le prédateur le regarde, ébloui ; ces petites bêtes n'attirent pas son attention. Lui, il poursuit une autre odeur, d'autres traces. Il pourchasse un animal digne de sa force.

Tradabordo a dit…

Un árbol enorme, cargado de monos, le estorba el paso. Contra el sol del amanecer, el árbol parece un monstruo negro, de mil cabezas. El predador lo mira encandilado, esas pequeñas bestias no atraen su atención. Él va tras otro olor, otras huellas. Tras un animal digno de su fuerza.

Un arbre énorme, abritant plein de singes, lui barre le passage. Sous [littéral ? J'hésite… Comme tu veux] le soleil de l'aube, l'arbre ressemble à un monstre noir à mille têtes. Le prédateur le regarde, ébloui ; ces petites bêtes n'attirent pas son attention. Lui, il poursuit une autre odeur, d'autres traces. Il pourchasse [« Il est après » ?] un animal digne de sa force.

Justine a dit…

Un árbol enorme, cargado de monos, le estorba el paso. Contra el sol del amanecer, el árbol parece un monstruo negro, de mil cabezas. El predador lo mira encandilado, esas pequeñas bestias no atraen su atención. Él va tras otro olor, otras huellas. Tras un animal digno de su fuerza.

Un arbre énorme, abritant plein de singes, lui barre le passage. Sous le soleil de l'aube, l'arbre ressemble à un monstre noir à mille têtes. Le prédateur le regarde, ébloui ; ces petites bêtes n'attirent pas son attention. Lui, il poursuit une autre odeur, d'autres traces. Il est après un animal digne de sa force.

Tradabordo a dit…

Un árbol enorme, cargado de monos, le estorba el paso. Contra el sol del amanecer, el árbol parece un monstruo negro, de mil cabezas. El predador lo mira encandilado, esas pequeñas bestias no atraen su atención. Él va tras otro olor, otras huellas. Tras un animal digno de su fuerza.

Un arbre énorme, abritant plein de singes, lui barre le passage. Sous le soleil de l'aube, l'arbre ressemble à un monstre noir à mille têtes. Le prédateur le regarde, ébloui ; ces petites bêtes n'attirent pas son attention. Lui, il poursuit une autre odeur, d'autres traces. Il est après un animal digne de sa force.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Justine a dit…

Hacia el oeste un resplandor ilumina el horizonte, pocos segundos después, llega el ruido. Ensordecedor, jamás escuchado antes, imposible. Un ruido que cubre de polvo el cielo, que estremece la tierra. Que pone a volar hojas, ramas, rocas. Que instala la noche.

À l'ouest, un éclair illumine l'horizon. Quelques secondes plus tard, le bruit parvient. Assourdissant, jamais entendu auparavant, impossible. Un bruit qui recouvre le ciel de poussière, qui fait trembler la terre. Qui fait voler les feuilles, les branches, les pierres. Qui installe la nuit.

Tradabordo a dit…

Hacia el oeste un resplandor ilumina el horizonte, pocos segundos después, llega el ruido. Ensordecedor, jamás escuchado antes, imposible. Un ruido que cubre de polvo el cielo, que estremece la tierra. Que pone a volar hojas, ramas, rocas. Que instala la noche.

À l'ouest, un éclair [j'hésite, mais ça dépend de l'ensemble du texte…] illumine l'horizon. Quelques secondes plus tard, le bruit parvient [mal dit]. Assourdissant, jamais entendu auparavant, impossible. Un bruit qui recouvre le ciel de poussière, qui fait trembler la terre. Qui fait voler les feuilles, les branches, les pierres. Qui installe la nuit.

Justine a dit…

Hacia el oeste un resplandor ilumina el horizonte, pocos segundos después, llega el ruido. Ensordecedor, jamás escuchado antes, imposible. Un ruido que cubre de polvo el cielo, que estremece la tierra. Que pone a volar hojas, ramas, rocas. Que instala la noche.

À l'ouest, un éclair illumine l'horizon. Quelques secondes plus tard, le bruit survient. Assourdissant, jamais entendu auparavant, impossible. Un bruit qui recouvre le ciel de poussière, qui fait trembler la terre. Qui fait voler les feuilles, les branches, les pierres. Qui installe la nuit.

Tradabordo a dit…

Hacia el oeste un resplandor ilumina el horizonte, pocos segundos después, llega el ruido. Ensordecedor, jamás escuchado antes, imposible. Un ruido que cubre de polvo el cielo, que estremece la tierra. Que pone a volar hojas, ramas, rocas. Que instala la noche.

À l'ouest, un éclair illumine l'horizon. Quelques secondes plus tard, le bruit survient [bof]. Assourdissant, jamais entendu auparavant, impossible. Un bruit qui recouvre le ciel de poussière, qui fait trembler la terre. Qui fait voler les feuilles, les branches, les pierres. Qui installe la nuit.

Justine a dit…

Hacia el oeste un resplandor ilumina el horizonte, pocos segundos después, llega el ruido. Ensordecedor, jamás escuchado antes, imposible. Un ruido que cubre de polvo el cielo, que estremece la tierra. Que pone a volar hojas, ramas, rocas. Que instala la noche.

À l'ouest, un éclair illumine l'horizon. Quelques secondes plus tard, le bruit retentit. Assourdissant, jamais entendu auparavant, impossible. Un bruit qui recouvre le ciel de poussière, qui fait trembler la terre. Qui fait voler les feuilles, les branches, les pierres. Qui installe la nuit.

Elena a dit…

Hacia el oeste un resplandor ilumina el horizonte, pocos segundos después, llega el ruido. Ensordecedor, jamás escuchado antes, imposible. Un ruido que cubre de polvo el cielo, que estremece la tierra. Que pone a volar hojas, ramas, rocas. Que instala la noche.

À l'ouest, un éclair illumine l'horizon. Le bruit arrive quelques secondes plus tard. Assourdissant, jamais entendu auparavant, impossible. Un bruit qui recouvre le ciel de poussière, qui fait trembler la terre. Qui fait voler les feuilles, les branches, les pierres. Qui installe la nuit.

Tradabordo a dit…

OK pour la version d'Elena.

À l'ouest, un éclair illumine l'horizon. Le bruit arrive quelques secondes plus tard. Assourdissant, jamais entendu auparavant, impossible. Un bruit qui recouvre le ciel de poussière, qui fait trembler la terre. Qui fait voler les feuilles, les branches, les pierres. Qui installe la nuit.

Justine ?

Justine a dit…

À l'ouest, un éclair illumine l'horizon. Le bruit arrive quelques secondes plus tard. Assourdissant, jamais entendu auparavant, impossible. Un bruit qui recouvre le ciel de poussière, qui fait trembler la terre. Qui fait voler les feuilles, les branches, les pierres. Qui installe la nuit.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Aferrados a su copa, los micos chillan aterrados. La raíz que los sostiene está cediendo. El árbol se hamaca un par de veces, como un junco. El tronco no resiste, se quiebra, se derrumba.
El ruido cesa, no así la oscuridad.
Poco a poco regresa la calma.

Accrochés à la cime, les ouistitis crient, terrorisés. La racine qui les supporte est en train de céder. L'arbre se balance à deux reprises, tel un jonc. Le tronc ne résiste pas, se brise, s'écroule.
Le bruit cesse, mais pas l'obscurité.
Peu à peu, le calme revient.

Tradabordo a dit…

Aferrados a su copa, los micos chillan aterrados. La raíz que los sostiene está cediendo. El árbol se hamaca un par de veces, como un junco. El tronco no resiste, se quiebra, se derrumba.
El ruido cesa, no así la oscuridad.
Poco a poco regresa la calma.

Accrochés à la cime, les ouistitis crient, terrorisés. La racine qui les supporte [« porte » ?] est en train de céder. L'arbre se balance à deux [sûre ici ?] reprises, tel un jonc. Le tronc ne résiste pas, se brise [bof], s'écroule.
Le bruit cesse, mais pas l'obscurité.
Peu à peu, le calme revient.

Justine a dit…

Aferrados a su copa, los micos chillan aterrados. La raíz que los sostiene está cediendo. El árbol se hamaca un par de veces, como un junco. El tronco no resiste, se quiebra, se derrumba.
El ruido cesa, no así la oscuridad.
Poco a poco regresa la calma.

Accrochés à la cime, les ouistitis crient, terrorisés. La racine qui les porte est en train de céder. L'arbre se balance à plusieurs reprises, tel un jonc. Le tronc ne résiste pas, se fend, s'écroule.
Le bruit cesse, mais pas l'obscurité.
Peu à peu, le calme revient.

Tradabordo a dit…

Aferrados a su copa, los micos chillan aterrados. La raíz que los sostiene está cediendo. El árbol se hamaca un par de veces, como un junco. El tronco no resiste, se quiebra, se derrumba.
El ruido cesa, no así la oscuridad.
Poco a poco regresa la calma.

Accrochés à la cime, les ouistitis crient, terrorisés. La racine qui les porte est en train de céder. L'arbre se balance à plusieurs reprises, tel un jonc. Le tronc ne résiste pas, se fend, s'écroule.
Le bruit cesse, mais pas l'obscurité.
Peu à peu, le calme revient.

OK.

Elena ?

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Entre el árbol derribado y el suelo está la cabeza del predador, grotescamente aplastada, partida. De su lengua, de sus ojos abiertos, los insectos ya comienzan a alimentarse. De nada le han valido su piel dura como coraza, sus temibles colmillos, sus quince metros de alto, sus doce toneladas de peso.

Entre l'arbre renversé et le sol, se trouve la tête du prédateur, grotesquement écrasée, fracturée. Déjà, les insectes commencent à se nourrir de sa langue, de ses yeux ouverts. Sa peau dure comme une cuirasse, ses effrayants crocs, ses quinze mètres de haut et ses douze tonnes ne lui ont servi à rien.

Tradabordo a dit…

Entre el árbol derribado y el suelo está la cabeza del predador, grotescamente aplastada, partida. De su lengua, de sus ojos abiertos, los insectos ya comienzan a alimentarse.

Entre l'arbre renversé et le sol, se trouve [« il y a » ?] la tête du prédateur, grotesquement écrasée, fracturée. Déjà, les insectes commencent à se nourrir de sa langue, de ses yeux ouverts.

Justine a dit…

Entre el árbol derribado y el suelo está la cabeza del predador, grotescamente aplastada, partida. De su lengua, de sus ojos abiertos, los insectos ya comienzan a alimentarse.

Entre l'arbre renversé et le sol, il y a la tête du prédateur, grotesquement écrasée, fracturée. Déjà, les insectes commencent à se nourrir de sa langue, de ses yeux ouverts.

Tradabordo a dit…

Entre el árbol derribado y el suelo está la cabeza del predador, grotescamente aplastada, partida. De su lengua, de sus ojos abiertos, los insectos ya comienzan a alimentarse.

Entre l'arbre renversé et le sol, il y a la tête du prédateur, grotesquement écrasée, fracturée. Déjà, les insectes commencent à se nourrir de sa langue, de ses yeux ouverts.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Justine a dit…

De nada le han valido su piel dura como coraza, sus temibles colmillos, sus quince metros de alto, sus doce toneladas de peso.

Sa peau dure comme une cuirasse, ses effrayants crocs, ses quinze mètres de haut et ses douze tonnes ne lui ont servi à rien.

Tradabordo a dit…

De nada le han valido su piel dura como coraza, sus temibles colmillos, sus quince metros de alto, sus doce toneladas de peso.

Sa peau dure comme une cuirasse, ses effrayants crocs [dans l'autre sens ?], ses quinze mètres de haut et ses douze tonnes ne lui ont servi à rien.

Justine a dit…

De nada le han valido su piel dura como coraza, sus temibles colmillos, sus quince metros de alto, sus doce toneladas de peso.

Sa peau dure comme une cuirasse, ses crocs effrayants, ses quinze mètres de haut et ses douze tonnes ne lui ont servi à rien.

Tradabordo a dit…

De nada le han valido su piel dura como coraza, sus temibles colmillos, sus quince metros de alto, sus doce toneladas de peso.

Sa peau dure comme une cuirasse, ses crocs effrayants, ses quinze mètres de haut et ses douze tonnes ne lui ont servi à rien.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Los monos que han sobrevivido comienzan a moverse. El instinto les dice que el animal abatido ya no es peligroso. Corretean sobre él, se deslizan, juegan.

Les singes ayant survécu se mettent en mouvement [pour éviter la répétition de « commencer » et de « bouger »]. Leur instinct leur dit que l'animal prostré n'est plus dangereux. Ils se précipitent sur lui, se laissent glisser, jouent.

Tradabordo a dit…

Los monos que han sobrevivido comienzan a moverse. El instinto les dice que el animal abatido ya no es peligroso. Corretean sobre él, se deslizan, juegan.

Les singes ayant survécu se mettent en mouvement. Leur instinct leur dit que l'animal prostré n'est plus dangereux. Ils se précipitent sur lui, se laissent glisser, jouent.

OK.

Elena ?

Tradabordo a dit…

Vous pouvez terminer.

Justine a dit…

Apoyándose contra el gigantesco cuerpo muerto, uno de los monos intenta pararse sobre sus dos patas traseras.
Se yergue. Los otros lo observan. Algunos lo imitan.

En s'appuyant contre le gigantesque corps mort, l'un des singes tente de se lever sur ses deux pattes arrières.
Il se dresse. Les autres l'observent. Certains l'imitent.

Tradabordo a dit…

Apoyándose contra el gigantesco cuerpo muerto, uno de los monos intenta pararse sobre sus dos patas traseras.
Se yergue. Los otros lo observan. Algunos lo imitan.

En s'appuyant contre le gigantesque corps mort, l'un des singes tente de se lever sur ses deux pattes arrières [accord ? Vérifie].
Il se dresse. Les autres l'observent. Certains l'imitent.

Justine a dit…

Apoyándose contra el gigantesco cuerpo muerto, uno de los monos intenta pararse sobre sus dos patas traseras.
Se yergue. Los otros lo observan. Algunos lo imitan.

En s'appuyant contre le gigantesque corps mort, l'un des singes tente de se lever sur ses deux pattes arrière.
Il se dresse. Les autres l'observent. Certains l'imitent.

Tradabordo a dit…

Apoyándose contra el gigantesco cuerpo muerto, uno de los monos intenta pararse sobre sus dos patas traseras.
Se yergue. Los otros lo observan. Algunos lo imitan.

En s'appuyant contre le gigantesque corps mort, l'un des singes tente de se lever sur ses deux pattes arrière.
Il se dresse. Les autres l'observent. Certains l'imitent.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

OK.