mardi 5 septembre 2017

Projet Sabrina / Elsa – phrases 22-fin

Al ocaso, dispuesta ya la cena en la mesa y descorchado un tinto que recordaba a sangre, decidí sacar a mi muerta del armario, seguro de encontrarla dormida y hambrienta. Pero cuál no fue mi decepción: entre los chales de seda blanca de mi abuela yacía tirada, como empujada por el aire, una calavera de azúcar que llevaba el nombre de Rosenda en la frente de papel plateado, y que se me deshizo en polvo entre los dedos.

Traduction temporaire :

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge dont la couleur rappelait le sang débouchée, j'ai décidé de déloger ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Or, quelle n'a pas été ma déception ! Au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant le nom de Rosenda, en papier argenté sur le front. Il s'est effrité entre mes doigts.

27 commentaires:

Sabrina a dit…

À la tombée du jour, une fois le dîner dressé sur la table et une bouteille de vin rouge rappelant le sang ouverte, j'ai décidé de faire sortir ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Mais quelle n'a pas été ma déception : au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait, renversé, comme soulevé par le vent, un crâne en sucre qui portait le nom de Rosenda sur le front en papier argenté et qui s'est effrité entre mes doigts.

Tradabordo a dit…

Sabrina, peux-tu, s'il te plaît, penser à mettre l'espagnol de la section qu'on travaille – pour rappel : plus on avance, plus la V.O. est loin et donc, plus il est difficile de s'y reporter.

Sabrina a dit…

Oui, bien sûr, excuse-moi !

Al ocaso, dispuesta ya la cena en la mesa y descorchado un tinto que recordaba a sangre, decidí sacar a mi muerta del armario, seguro de encontrarla dormida y hambrienta. Pero cuál no fue mi decepción: entre los chales de seda blanca de mi abuela yacía tirada, como empujada por el aire, una calavera de azúcar que llevaba el nombre de Rosenda en la frente de papel plateado, y que se me deshizo en polvo entre los dedos.

À la tombée du jour, une fois le dîner dressé sur la table et une bouteille de vin rouge rappelant le sang ouverte, j'ai décidé de faire sortir ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Mais quelle n'a pas été ma déception : au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait, renversé, comme soulevé par le vent, un crâne en sucre qui portait le nom de Rosenda sur le front en papier argenté et qui s'est effrité entre mes doigts.

Unknown a dit…

Al ocaso, dispuesta ya la cena en la mesa y descorchado un tinto que recordaba a sangre, decidí sacar a mi muerta del armario, seguro de encontrarla dormida y hambrienta. Pero cuál no fue mi decepción: entre los chales de seda blanca de mi abuela yacía tirada, como empujada por el aire, una calavera de azúcar que llevaba el nombre de Rosenda en la frente de papel plateado, y que

Voici ma proposition, avec quelques variantes.


La nuit tombée, le dîner servi et une bouteille de vin, qui rappelait le sang, débouchée, j’ai décidé de sortir ma morte de l’armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Mais quelle n’a pas été pas ma déception : au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre qui portait le nom de Rosenda sur le front en papier argenté et qui s'est effrité entre mes doigts.

Tradabordo a dit…

Du coup, mettez-vous d'accord en amont. Ce serait trop long pour moi de lire les deux versions, de voir ce qui varie, etc. Faites-moi une propo en commun.

Sabrina a dit…

Voici la synthèse que je vous propose. Qu'en penses-tu Elsa ?

Al ocaso, dispuesta ya la cena en la mesa y descorchado un tinto que recordaba a sangre, decidí sacar a mi muerta del armario, seguro de encontrarla dormida y hambrienta. Pero cuál no fue mi decepción: entre los chales de seda blanca de mi abuela yacía tirada, como empujada por el aire, una calavera de azúcar que llevaba el nombre de Rosenda en la frente de papel plateado, y que se me deshizo en polvo entre los dedos.

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge, qui rappelait le sang, débouchée, j'ai décidé de faire sortir ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Mais quelle n'a pas été ma déception : au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre qui portait le nom de Rosenda sur le front en papier argenté et qui s'est effrité entre mes doigts.

Unknown a dit…

ça va pour moi !

Tradabordo a dit…

Elsa ?

Tradabordo a dit…

Al ocaso, dispuesta ya la cena en la mesa y descorchado un tinto que recordaba a sangre, decidí sacar a mi muerta del armario, seguro de encontrarla dormida y hambrienta. Pero cuál no fue mi decepción: entre los chales de seda blanca de mi abuela yacía tirada, como empujada por el aire, una calavera de azúcar que llevaba el nombre de Rosenda en la frente de papel plateado, y que se me deshizo en polvo entre los dedos.

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge, qui rappelait le sang, débouchée, j'ai décidé de faire sortir [« d'extraire », pour éviter le « faire » ?] ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Mais [ou : « Or, » ?] quelle n'a pas été ma déception : au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette [« tête de mort » ?] en sucre qui portait [« portant » ?] le nom de Rosenda sur le front en papier argenté [syntaxe ? J'hésite] et qui s'est effrité entre mes doigts.

Sabrina a dit…

Top le "or" ! "Portant" est bien aussi. Merci !
En revanche, pas fan d'"extraire". Pour "tête de mort", j'avais mis aussi "crâne", mais je dirais qu'Elsa a raison : c'est son squelette en entier, et pas juste, qu'il a retrouvé.
Quant au pb de syntaxe, je ne le vois pas :(

Al ocaso, dispuesta ya la cena en la mesa y descorchado un tinto que recordaba a sangre, decidí sacar a mi muerta del armario, seguro de encontrarla dormida y hambrienta. Pero cuál no fue mi decepción: entre los chales de seda blanca de mi abuela yacía tirada, como empujada por el aire, una calavera de azúcar que llevaba el nombre de Rosenda en la frente de papel plateado, y que se me deshizo en polvo entre los dedos.

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge, qui rappelait le sang, débouchée, j'ai décidé de déloger ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Or, quelle n'a pas été ma déception : au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant le nom de Rosenda sur le front en papier argenté et qui s'est effrité entre mes doigts.

Unknown a dit…

Ok pour toutes vos suggestions et le récap de Sabrina. Je tente une solution au pb de syntaxe...

Al ocaso, dispuesta ya la cena en la mesa y descorchado un tinto que recordaba a sangre, decidí sacar a mi muerta del armario, seguro de encontrarla dormida y hambrienta. Pero cuál no fue mi decepción: entre los chales de seda blanca de mi abuela yacía tirada, como empujada por el aire, una calavera de azúcar que llevaba el nombre de Rosenda en la frente de papel plateado, y que se me deshizo en polvo entre los dedos.

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge, qui rappelait le sang, débouchée, j'ai décidé de déloger ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Or, quelle n'a pas été ma déception : au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant le nom de Rosenda en papier argenté sur le front et qui s'est effrité entre mes doigts.

Tradabordo a dit…

Al ocaso, dispuesta ya la cena en la mesa y descorchado un tinto que recordaba a sangre, decidí sacar a mi muerta del armario, seguro de encontrarla dormida y hambrienta. Pero cuál no fue mi decepción: entre los chales de seda blanca de mi abuela yacía tirada, como empujada por el aire, una calavera de azúcar que llevaba el nombre de Rosenda en la frente de papel plateado, y que se me deshizo en polvo entre los dedos.

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge, qui rappelait le sang [ça va… Juste un doute : fluide ? Naturel ? Si vous ne trouvez rien de mieux, OK], débouchée, j'ai décidé de déloger ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Or, quelle n'a pas été ma déception : [point d'exclamation à la place ?] au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant le nom de Rosenda en papier argenté [clair sur ce qui est en papier argenté ?] sur le front et qui s'est effrité entre mes doigts.

Sabrina a dit…

Je tente un truc pour la 1ère partie, mais peut-être j'en rajoute trop...
Je suis d'accord : en français, cette phrase est exclamative.
Pour le papier argenté, je suis ok avec la proposition d'Elsa, merci :). Je dirais qu'on ne peut pas associer "en papier argenté" à "squelette" car on a la précision "squelette en sucre". Dans le cas contraire, je suis d'accord qu'il y aurait eu ambiguïté.

Al ocaso, dispuesta ya la cena en la mesa y descorchado un tinto que recordaba a sangre, decidí sacar a mi muerta del armario, seguro de encontrarla dormida y hambrienta. Pero cuál no fue mi decepción: entre los chales de seda blanca de mi abuela yacía tirada, como empujada por el aire, una calavera de azúcar que llevaba el nombre de Rosenda en la frente de papel plateado, y que se me deshizo en polvo entre los dedos.

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge débouchée dont la couleur rappelait le sang, j'ai décidé de déloger ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Or, quelle n'a pas été ma déception ! Au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant le nom de Rosenda en papier argenté sur le front et qui s'est effrité entre mes doigts.

Tradabordo a dit…


Al ocaso, dispuesta ya la cena en la mesa y descorchado un tinto que recordaba a sangre, decidí sacar a mi muerta del armario, seguro de encontrarla dormida y hambrienta. Pero cuál no fue mi decepción: entre los chales de seda blanca de mi abuela yacía tirada, como empujada por el aire, una calavera de azúcar que llevaba el nombre de Rosenda en la frente de papel plateado, y que se me deshizo en polvo entre los dedos.

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge débouchée dont la couleur rappelait le sang, j'ai décidé de déloger ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Or, quelle n'a pas été ma déception ! Au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant le nom de Rosenda en papier argenté sur le front [placé avant ?] et qui s'est effrité entre mes doigts.

Unknown a dit…

Al ocaso, dispuesta ya la cena en la mesa y descorchado un tinto que recordaba a sangre, decidí sacar a mi muerta del armario, seguro de encontrarla dormida y hambrienta. Pero cuál no fue mi decepción: entre los chales de seda blanca de mi abuela yacía tirada, como empujada por el aire, una calavera de azúcar que llevaba el nombre de Rosenda en la frente de papel plateado, y que se me deshizo en polvo entre los dedos.

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge débouchée dont la couleur rappelait le sang, j'ai décidé de déloger ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Or, quelle n'a pas été ma déception ! Au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant sur le front le nom de Rosenda en papier argenté et qui s'est effrité entre mes doigts.

Sabrina a dit…

Ca me plaît aussi avant ;)

Al ocaso, dispuesta ya la cena en la mesa y descorchado un tinto que recordaba a sangre, decidí sacar a mi muerta del armario, seguro de encontrarla dormida y hambrienta. Pero cuál no fue mi decepción: entre los chales de seda blanca de mi abuela yacía tirada, como empujada por el aire, una calavera de azúcar que llevaba el nombre de Rosenda en la frente de papel plateado, y que se me deshizo en polvo entre los dedos.

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge débouchée dont la couleur rappelait le sang, j'ai décidé de déloger ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Or, quelle n'a pas été ma déception ! Au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant le nom, en papier argenté sur le front, de Rosenda et qui s'est effrité entre mes doigts.

Tradabordo a dit…

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge débouchée dont la couleur rappelait le sang, j'ai décidé de déloger ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Or, quelle n'a pas été ma déception ! Au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant le nom, en papier argenté sur le front, de Rosenda et qui s'est effrité entre mes doigts.

Ou :

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge débouchée dont la couleur rappelait le sang, j'ai décidé de déloger ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Or, quelle n'a pas été ma déception ! Au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant sur le front le nom de Rosenda écrit avec du papier argenté et qui s'est effrité entre mes doigts.

?

Unknown a dit…

Pour ma part, Je préfère la deuxième option :

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge débouchée dont la couleur rappelait le sang, j'ai décidé de déloger ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Or, quelle n'a pas été ma déception ! Au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant sur le front le nom de Rosenda écrit avec du papier argenté et qui s'est effrité entre mes doigts.

Sabrina a dit…

Je préfère le côté plus fluide, moins "gâché" de la 2ème. Mais un truc me gêne au niveau du sens : lorsqu'on dit "le nom de R. écrit avec du papier argenté", cela signifie que les lettres sont faites en papier argenté. Or, j'ai l'impression que la VO n'est pas si précise. Peut-être s'agit-il d'une étiquette en papier argenté sur laquelle est écrit le nom de R. au stylo par exemple. Du coup, je resterais sur la 1ère version qui me semble plus maintenir la même ambiguïté que dans la VO.

Al ocaso, dispuesta ya la cena en la mesa y descorchado un tinto que recordaba a sangre, decidí sacar a mi muerta del armario, seguro de encontrarla dormida y hambrienta. Pero cuál no fue mi decepción: entre los chales de seda blanca de mi abuela yacía tirada, como empujada por el aire, una calavera de azúcar que llevaba el nombre de Rosenda en la frente de papel plateado, y que se me deshizo en polvo entre los dedos.

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge débouchée dont la couleur rappelait le sang, j'ai décidé de déloger ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Or, quelle n'a pas été ma déception ! Au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant le nom, en papier argenté sur le front, de Rosenda et qui s'est effrité entre mes doigts.

Sabrina a dit…

Je préfère le côté plus fluide, moins "haché" de la 2ème. Mais un truc me gêne au niveau du sens : lorsqu'on dit "le nom de R. écrit avec du papier argenté", cela signifie que les lettres sont faites en papier argenté. Or, j'ai l'impression que la VO n'est pas si précise. Peut-être s'agit-il d'une étiquette en papier argenté sur laquelle est écrit le nom de R. au stylo par exemple. Du coup, je resterais sur la 1ère version qui me semble plus maintenir la même ambiguïté que dans la VO.

Al ocaso, dispuesta ya la cena en la mesa y descorchado un tinto que recordaba a sangre, decidí sacar a mi muerta del armario, seguro de encontrarla dormida y hambrienta. Pero cuál no fue mi decepción: entre los chales de seda blanca de mi abuela yacía tirada, como empujada por el aire, una calavera de azúcar que llevaba el nombre de Rosenda en la frente de papel plateado, y que se me deshizo en polvo entre los dedos.

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge débouchée dont la couleur rappelait le sang, j'ai décidé de déloger ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Or, quelle n'a pas été ma déception ! Au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant le nom, en papier argenté sur le front, de Rosenda et qui s'est effrité entre mes doigts.

Unknown a dit…

Ok, mais juste, est ce que ça ne fait pas un peu bizarre de séparer "nom" et "Rosenda". Je propose ceci, qui reprend presque tout de la proposition de Sabrina :

Al ocaso, dispuesta ya la cena en la mesa y descorchado un tinto que recordaba a sangre, decidí sacar a mi muerta del armario, seguro de encontrarla dormida y hambrienta. Pero cuál no fue mi decepción: entre los chales de seda blanca de mi abuela yacía tirada, como empujada por el aire, una calavera de azúcar que llevaba el nombre de Rosenda en la frente de papel plateado, y que se me deshizo en polvo entre los dedos.

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge débouchée dont la couleur rappelait le sang, j'ai décidé de déloger ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Or, quelle n'a pas été ma déception ! Au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant, en papier argenté sur le front, le nom de Rosenda et qui s'est effrité entre mes doigts.

Tradabordo a dit…

Al ocaso, dispuesta ya la cena en la mesa y descorchado un tinto que recordaba a sangre, decidí sacar a mi muerta del armario, seguro de encontrarla dormida y hambrienta. Pero cuál no fue mi decepción: entre los chales de seda blanca de mi abuela yacía tirada, como empujada por el aire, una calavera de azúcar que llevaba el nombre de Rosenda en la frente de papel plateado, y que se me deshizo en polvo entre los dedos.

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge dont la couleur rappelait le sang débouchée, j'ai décidé de déloger ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Or, quelle n'a pas été ma déception ! Au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant le nom, en papier argenté sur le front, de Rosenda. Il s'est effrité entre mes doigts.

Que pensez-vous de ça ?

Unknown a dit…

Ok. J'ai publié entre temps (ce matin) un commentaire où je rapprochait "le nom" de "Rosenda"- Ce qui donnerait (si je reprends la proposition de Tradabordo de séparation de la dernière phrase en deux) :

Au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant le nom de Rosenda, en papier argenté sur le front. Il s'est effrité entre mes doigts.

Mais je reste ouverte à votre proposition de séparation des deux termes.
Je vous laisse décider et on passe au fragment suivant ?

Sabrina a dit…

Ok pour moi ! Merci :)

Sabrina a dit…

Je fais fusionner vos 2 propositions. Le résultat me convient parfaitement. Ok pour toi, Caroline ?

Al ocaso, dispuesta ya la cena en la mesa y descorchado un tinto que recordaba a sangre, decidí sacar a mi muerta del armario, seguro de encontrarla dormida y hambrienta. Pero cuál no fue mi decepción: entre los chales de seda blanca de mi abuela yacía tirada, como empujada por el aire, una calavera de azúcar que llevaba el nombre de Rosenda en la frente de papel plateado, y que se me deshizo en polvo entre los dedos.

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge dont la couleur rappelait le sang débouchée, j'ai décidé de déloger ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Or, quelle n'a pas été ma déception ! Au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant le nom de Rosenda, en papier argenté sur le front. Il s'est effrité entre mes doigts.

Tradabordo a dit…

À la nuit tombée, une fois le dîner servi et une bouteille de vin rouge dont la couleur rappelait le sang débouchée, j'ai décidé de déloger ma morte de l'armoire, certain de la trouver endormie et affamée. Or, quelle n'a pas été ma déception ! Au milieu des châles en soie blanche de ma grand-mère, gisait sur le sol, comme renversé par le vent, un squelette en sucre portant le nom de Rosenda, en papier argenté sur le front. Il s'est effrité entre mes doigts.

OK pour ça.

Tradabordo a dit…

Le texte complet est dans « Travaux en cours ». Je vous laisse aller le chercher, puis le relire ensemble et m'envoyer votre version définitive. Dès que c'est fait, je vous mets le 2e texte de cette auteure.